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Nautic 2017

L’année se termine déjà et il est temps pour nous de nous retrouver au salon nautic de Paris.

Comme vous l’avez peut-être déjà appris, le chantier a été repris depuis le 1er novembre 2017 par monsieur Thomas (article v&v).

Mr Thomas a pour objectif de relancer la dynamique du chantier, conserver la construction des M7.50 à Saint-Malo et avance en collaboration avec l’association de propriétaires de M7.50.

Le nautic sera donc l’occasion pour nous de nous retrouver autour d’un pot et de faire connaissance avec lui.

Nous serons accueillis sur le stand BG race (Hall1 Stand C39) le samedi 2 décembre à partir de 18h autour du M7.50 « Bad boy » déquillé pour l’occasion (le moment idéal pour faire des petits trous dans la coque afin de ralentir ce redoutable adversaire) !

La nouveauté à ne pas manquer cette année : le salon est gratuit pour les licenciés FFVoile à jour de leur cotisation !

Suivez le lien et imprimez votre billet !!

Sincèrement,

 Le bureau du club M7.50

Guy PRONIER
Jean-denis BARGIBANT
Paul VANDAME

Compte rendu du SNO par Eric POUILLAUDE

Le SNO!

J’en avais entendu parlé de cette régate! Tous les ans! Certes, cela ne fait que depuis 2 ans, mais j’écoutais les vieux marins parler de cet évènement, se remémorer les moments forts : les retrouvailles, l’absence chronique de vent, les manches âprement disputées, les moments festifs, et d’autres choses vaseuses …

Rendez-vous était donc pris pour cette année pour le 7ème des 8 rendez-vous de la classe, avec mon groQuik, pour rivaliser au lancer de châtaignes, oui, parce que si je savais naviguer, ça se saurait! Je n’avais juste pas compris que les châtaignes ça se lance mieux avec les bogues.

La coupe des châtaignes a lieu au SNO, sur un plan d’eau qui n’est pas sans rappeler quelque peu celui du lac d’Orient. A notre arrivée samedi matin, le lac était encore embrumé, la rosée perlait, et on sentait se mélanger la fièvre des préparatifs et la joie des retrouvailles. Neuf 7.50 étaient présents : comme quoi de plus “petites” manifestations peuvent aussi attirer plus de monde. Sans aucun doute la convivialité, et la beauté des lieux contribuent au succès de cette étape.

Quelques locaux étaient présents, Jean-Marc Fury, Anne et Guy Pronier sur Callisto, la famille Castel, et la team Rouxel avec Jean-Yves Rouxel, Pascal Guibal et Hervé Le Gac.

Les bretons aussi, avec Erwan Gourdon épaulé comme d’habitude par Benoit Coville et Sébastien Lozevis sur Bahia, Hervé Pouliquen, Nathanael Chauvin et Samuel Cohen sur Laz’or, Laurent Beaurain, Claire Gavid et Benoit Melen sur un Badboy qui a eu du mal à faire entendre sa voix,

Les parisiens : Alain Poupaert épaulés par des équipiers locaux Anaïs Pindar et Julien Pison sur Miss Aizée, et sur groQuik Eric Pouillaude et Philippe Chillet, qui trépigne d’impatience de pouvoir participer sous ses propres couleurs, avec Stéphane Verstraete venu en dernière minute en renfort apprécié,

Sans oublier Luc Lajoye, toujours après à avaler des kilomètres pour battre la mesure au sein du peloton de tête, et son équipage composé de François Salengros  et Marion Foussat.

Manquait à l’appel Stéphane Magnier, Thierry Melot, Richard Slama, Patrick Jacques Guiraud, Gaetan Touze et sa team atomique, ainsi que la dream team emmené par Jean-Denis Barbigant.

Nous avons couru 6 manches, 3 le samedi par un beau soleil et un petit vent capricieux et 3 également le dimanche sous un ciel gris, quelques averses éparses et un vent non moins difficile à situer au point que les canards provoquaient plus de rides sur l’eau en nageant que le vent…

Bon … vu de ma fenêtre, ou plutôt de mon cockpit, j’aurai un peu de mal à vous raconter la ferveur des engagements aux bouées, ayant réussi de justesse à ne pas être dépassé par le premier lors de la première manche avant d’avoir fini mon deuxième tour. Je ne vous raconterai pas non plus le départ de la deuxième manche, ayant réussi l’exploit de rater le départ après avoir posé la quille dans un banc de vase en attendant le départ des J22. Si, si, j’en avais entendu parler … je l’ai vérifié! J’ai évité de justesse la même blague vaseuse derrière la ligne de départ  lors de l’attente pour la 4eme manche, mais je crois que personne ne s’en est aperçu. Ouf!

La 3ème manche n’a pas été bien meilleure, faisant parti des 3 disqualifiés pour dépassement du temps à quelques encablures derrière Miss Alizée et de Laz’or. Je ne vous révèlerai pas les deux autres disqualifiés qui n’étaient qu’à quelques mètres de la ligne! C’est ce qu’on appelle se prendre un vent !

Le repas des équipiers était d’autant plus attendu qu’il était préparé sous nos yeux durant l’apéritif et que les efforts déployés durant les manches avaient creusé non seulement les écarts au classement mais surtout l’appétit!

La faim justifiant les moyens, Francine eut bien du mal à se faire entendre pour annoncer le service, l’ambiance de la soirée était donnée, mêlant d’une seule voix les J22, les Muscadet et les M7.50.

Le repas s’est déroulé dans une belle ambiance festive où tous participèrent à leur hauteur, que ce soit Alain ou Hélène, Guy ou Nathanael, Luc ou Claire et ceux qui furent moins visibles mais non moins actifs ! je ne citerai pas de noms, tout le monde les a identifié !

Malgré la météo du dimanche, les 3 manches furent doublement disputées avec quelques embouteillages et cris digne du rondpoint de l’étoile à Paris à la deuxième bouée

Au final, FRA70 emmené par Guy Pronier, à égalité de point avec FRA42 de Pierre Antoine Castel, remporte la première place en étant repris de justesse de par la règle de la dernière meilleure manche.

Un second groupe s’est disputé les 4 places suivantes : Erwan, sans doute perturbé par l’absence de vague, décroche la 3ème place, pénalisé par les 3ème manches de chaque journée, moins réussies. Luc Lajoye a fait un très beau Come-Back, sans doute aidé par l’excellente choucroute de la veille en briguant la 4ème place devant Laurent Beaurain. Comme quoi, trop de régularité ne paye pas toujours ! Jean-Yves Rouxel a signé de belles manches le dimanche après une première journée au réglage difficile avec un problème de tangon.

Le 3ème groupe rassemble dans l’ordre Hevé Pouliquen, qui nous a habitué à de meilleurs résultat en mer, Alain Poupaert sur un magnifique FRA31 gris clair qu’il a repeint lui-même et Eric Pouillaude, dernier, toujours en phase de formation, malgré 3 manches bataillées avec Laz’or et Miss Alizée. Ça finira bien par rentrer !!

La conclusion est que les plans d’eau intérieurs sont définitivement pleins de surprises, et que l’expérience fera toujours la différence. Quoique …

L’impression générale converge sur la qualité de l’accueil du SNO et de l’organisation, la beauté du lieu et la convivialité, la bonne humeur régnante à terre comme sur l’eau. Nous adressons une nouvelle fois tous nos remerciements au SNO ainsi qu’à Alain Poupaert, distributeur et réparateur, qui dote chacune des courses de cette année des 30 ans de la série, d’un cadeau Gill dont il est distributeur.

Le dernier round de la saison aura lieu à domicile, en ce qui me concerne, au CVP où la mobilisation des 7.50 est d’ores et déjà lancé par Yves Davaine, le capitaine de Flotte des 7.50 du Cercle qui se prépare à vous recevoir, nombreux, motivés et en super forme pour partager un bon moment sur l’eau bien sûr, mais aussi au coin de la cheminée lors de la soirée des équipages.

https://www.facebook.com/events/822123854632515/

Vous pouvez  retrouver les  résultats de la coupe des Châtaignes au SNO à cette adresse : http://www.ffvoile.fr/ffv/sportif/ClmtCompetDet.asp?clid=136753

Eric POUILLAUDE – groQuik – F14

 

Compte rendu Atlantique Télégramme

En l’absence de la plupart des ténors de la série ce « Télégramme » se présentait comme un boulevard « Gourdonné » d’avance. Bahia n’a pas failli à sa réputation et n’a même pas eu besoin de courir la dernière manche (sous une pluie dissuasive il est vrai) pour s’adjuger le trophée. Sa victoire fut à peine contestée le vendredi lors des deux premières manches par Jabadao qui avait trouvé une belle vitesse avec ses nouvelles voiles « All Purpose ». Mais les deux manches du deuxième jour, courues dans des conditions idéales, soleil et force 3, ont consacré la domination d’Erwan et la messe était dite avant dimanche. L’intérêt s’est en fait rapidement concentré sur une question : qui serait le 3° puisque 2 points séparaient 3 postulants avant la dernière manche. La régularité d’Arjuna a finalement eu raison de Miss Alizée et de Groquick. Pendant qu’Ar Baradoz, dont l’équipage avait été cloué à terre samedi par une belle gastro, pliait bagages.

Au-delà du classement que retenir de ce Télégramme ?

Le positif tout d’abord. L’organisation était parfaite, les frais d’inscription très raisonnables (160€ grutage compris ainsi qu’une bière et un repas des équipages peu raffiné mais roboratif), la gentillesse des Lorientais pour compléter l’ensemble. L’ambiance également reste un atout majeur au sein de la série puisqu’ aussitôt arrivés à terre les équipages de Monotype 7,50 se retrouvaient autour d’un verre, d’un bricolage ou d’u ne assiette, animés par les traits d’humour de Richard. Bref : on s’est bien marré. Trois équipages venaient de la région parisienne et avaient bien l’intention d’améliorer leurs performances en mer dans les années à venir. La série attire toujours de nouveaux passionnés.

Le moins positif ensuite. Le peu d’inscrits était une déception après le succès du « National ». La longueur des parcours a rendu plus d’une manche ennuyeuse. Les Monotypes 7,50 étaient intégrés au groupe des IRC 1 et 2 ce qui encourageait le comité de course à privilégier des parcours côtiers où les bords de près étaient parfois très restreints, transformant la manche en interminables chevaux de bois où la seule vigilance requise consistait à éviter les paquets d’algues. Peut-être faut-il demander au CNL de mettre les Monotypes 7,50 en 2018 sur le même rond que les Open et les J80 ou bien réfléchir à une autre épreuve d’automne.

Place maintenant aux régates en eaux douces, le SNO du 6 au 8 octobre, avant de finir la saison là où elle a commencé au CVP les 11 et 12 novembre. Partir au planning sous le regard alangui des bovidés est une expérience à ne pas rater.

Bon vent à tous

Paul-stéphane MANIER

18e édition de l’Atlantique Le Télégramme

Il ne vous reste que 2 jours !

Après un début septembre pluvieux et maussade, on commençait à sortir chaussettes et bonnets mais c’était sans compter sur ce brave anticyclone des Acores qui a prévu d’être généreux pour cette 18e édition de l’Atlantique Le Télégramme organisée comme chaque année par le Centre Nautique de Lorient.
Venez nombreux faire la fête sur l’eau et à terre grâce à notre village animation et surtout n’oubliez pas la crème solaire et les Julbo Eyewear !!!

Inscrivez-vous avant la majoration de ce lundi 18 septembre +50% !!!

Ce serait dommage de payer plus …

Pour vous inscrire: Cliquez ici !

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PANIERS-REPAS

Les paniers-repas seront confectionnés par la Société AGORA services

Si vous souhaitez en bénéficier, vous trouverez le bon de commande en cliquant sur le lien: Commande

 

Bon week-end de convoyage pour les uns et de préparatifs pour les autres !
A très bientôt.

L’Équipe du CNL

A vendre

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Contact :

Guy PRONIER
06 07 65 65 67
pronier.guy@orange.fr